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Chapitre 1 : Les vestiaires.
Attention se chapitre contient des scènes sexuelle.
Après cette nuit mouvementée, je ne cessai de repenser à ce jeune homme si grand qui m'avait sauvé de ces hommes répugnants et sans gêne. Je me demandais si je n'avais pas rêvé. Allait-il à la même université que moi ? Qui pouvait-il bien être.. Mon esprit resta brouillé par mes pensés toutes différentes les unes des autres. Je décidai finalement de laisser mes devoirs et de me coucher pour être de bonne humeur le lendemain. La nuit étant finie, je me levais à mon heure habituelle, je pris ma douche, enfilai mes vêtements, bu un café et je sortis de mon appartement. Cette fois-ci je décidai de prendre le bus, pour ne pas faire la même bêtise que la veille. En arrivant à l'université je remarquai une foule qui bloquait le portail qui donnait l'accès aux bâtiments des cours. Je me faufilai entre toutes ces filles qui avaient la bouche ouverte au point d'en avoir des filets de bave qui coulaient sur leur menton.
« Mais qu'est-ce que c'est que ça, bordel » disais-je d'un ton énervé.
Impossible de passer. Tout était bloqué. J'avais déjà dix minutes de retard, ce qui m'agaçait beaucoup . Je pris mon courage à deux mains, et fonçai en poussant les étudiantes par terre. Ces dernières me tuèrent de leurs regard, mais très vite, elles m’oublièrent pour retourner à leur occupation. Je regardai quand même pour connaître la raison pour laquelle elles étaient excitées et folles de joie, je vis enfin une bande de garçons magnifiques, ils n'avaient aucun défauts, je compris alors pourquoi les étudiantes étaient toutes extraverties. Mais j’oubliai vite les garçons en me dépêchant de retourner en classe. En arrivant je m'excusai en expliquant le problème au professeur, il accepta mes excuses car il avait vu la scène depuis son bureau. Je pris place sur un siège et j’ouvris mon bloc note, en prenant soin de noter chaque mots qu’évoqua mon professeur. A la fin de mon cours, je fis un signe d’au-revoir à mon amie, qui me le rendit avec un sourire chaleureux. Je marchais en direction de la cafétéria où j'avais l'habitude de prendre un café après chaque repas, cette fois-ci, je décidai de commander à manger là-bas. Mais soudain, tout les étudiants se levèrent et crièrent de toute leur force, je lançai un cri d’agacement :
« Mais qu'est-ce qui se passe encore !? C'est pas vrai ça, même en mangeant, on peut pas être tranquille, c'est qui ces gars ?»
Mon amie me regarda bizarrement puis se pencha vers mon oreille pour me dire que les jeunes hommes que les étudiantes appréciaient fortement, étaient en fait des idoles, je restai bouche bée, puis repris mes baguettes à la main et mangeai en faisant croire que cela ne m'avait pas intéressé. Je tournais de temps en temps la tête pour les regarder, mais impossible tout le monde cachait la vue. A la fin de mon repas, je pris mon plateau et le donnai aux femmes de la plonge qui le lava aussitôt. Après ce délicieux repas, je n'avais qu'envie, c'est d'aller faire un peu de sport, j'avais mon après midi de libre, et pour libérer mon stress des examens, l'exercice physique était un bon défoulement. J'allai dans les vestiaire des filles, je commençai à lever mon haut sensuellement, comme si j'étais observée et que je voulais me la jouer sexy. Mais ce n'était pas une illusion, j'aperçus soudain quelqu'un derrière l'un des cassier, une touffe de cheveux d'un noir brillant se cachait. Je pris une serviette pour cacher mon intimité, puis allai voir l'inconnu.
« Que faites vous ici ? C'est le vestiaire des filles ici. » dis- je.
Le jeune homme tourna la tête en ébouriffant ses cheveux pour me regarder. « Et alors ? J'ai bien le droit de dormir dans un endroit tranquille non ? » Me dit-il d'un ton supérieur.
« Il existe des pièces dans une maison appelés '' chambres '' donc au lieu de rester dans les vestiaires des filles pour les reluquer et en même temps vous taper un somme, allez donc vous reposer dans la votre.» disais je en haussant le ton de ma voix.
Il se leva, me regarda, fit un sourire naïf puis attrapa d'un coup la serviette qui cachait ma poitrine, recouverte par mon soutien gorge.
« Tu es plutôt pas mal.... » dit-il tout en me caressant les cheveux.
« Que faites vous !?» répliquai-je.
« Tu n'en as pas un peu marre de me vouvoyer. Tu es ennuyeuse. » dit-il d'un ton amusé.
Il commença à me caresser les bras, qui tremblaient de peur, il arriva à ma nuque pour la bécoter. Avec son autre main il caressa mes cuisses bien douces, ce qui me fit un peu frémir. Un gémissement s'échappa de ma bouche, je me surpris à aimer ce qu'il me faisait. Puis il en vînt a mes lèvres rosées, il n'en fit qu'une bouchée, ses lèvres était si pulpeuses, je ne voulais pas le repousser, je voulais aller plus loin, sans me poser de questions. Il dégrapha mon soutien-gorge et commença à masser ma poitrine et à sucer mes petits boutons de chair. Je gémissais de plus en plus, il eut un sourire pervers et commença à descendre au niveau de ma culotte pour masser ton point g. Je voulais moi aussi lui donner du plaisir, je le poussai contre un des casiers et lui enlevai son tee-shirt. Surpris, il continua tout de même ce qu'il était entrain de faire, nous nous laissâmes tomber, nous servant de la serviette comme couverture. Il se mît à insérer un doigt puis deux … en venant au troisième, je commençai à gémir un peu plus fort. Il défit sa ceinture et baissa son pantalon tout en écartant mes jambes, il poussa légèrement ma culotte sur le côté afin de rentrer en moi. J'aimais ça, même si je ne le connaissais pas, il me procurait tellement de plaisir que je n'avais qu'une envie, c'est qu'il aille encore plus fort.
«Plus.. plus fort» soupirai-je, entre deux gémissements.
Le jeune s'exécuta et donna des coups de reins plus violent qu'au départ, ce qui me fit jouir de plaisir, j'hâletais de plaisir et lui haletait de fatigue. Il voulu se libérer, il se leva donc de moi et éjacula sur mon ventre luisant qui fût couvert d'un liquide blanchâtre. Je me redressai pour prendre son membre entre mes mains, et suçotai le bout de son gland. Il prenait du plaisir. Je mis sa virilité entièrement dans ma bouche en faisant des vas-et-viens avec ma tête et en le suçotant avec ma langue. Il jouit de plaisir, et se libéra dans ma bouche. Après ça, il se rhabilla rapidement alors que je reprenais encore mon souffle, à terre, puis m'annonça :
« C'était bon, mais la prochaine fois, essaye d'avoir des vêtements plus sexy. »
J'étais allongée sur le sol, encore sous le choc du moment érotique que je venais de passer avec ce mystérieux garçon inconnu.
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